Paido avait entendu parler de ce fameux bal d'Halloween, avec un thème bien étrange, les hommes en femmes, et les femmes en hommes. Il n'avais rien à faire ce soir la et il était bien tenté d'y aller, ses affaires ayant été bouclées plus tôt que prévus. Paido fouilla dans ses affaires après une robe avant de n'en trouver aucunes, forcement. Il devra en acheter une à Prés-Au-Lard ou ailleurs. Paido réfléchit en buvant une tasse de thé noir bien corsée et avec trois sucres, comme à son habitude. Paido l'acheva avant de se lever et d'utiliser la poudre de cheminette pour se retrouver sur un chemin de traverse japonais, la il trouverait des kimonos féminin. Paido déambula dans les allées en regardant les boutiques avant d'en trouver une qui vendait de jolis kimono, il entra et expliqua à la commerçante de quoi il s'agissait, qui éclata de rire en rameutant du monde curieux. Paido se frotta les cheveux de gène avant d'emmener la marchande plus loin et de dire.

J'ai aussi deux petites filles, de 11 ans, si vous avez aussi un kimono pour elles?
Nous avons de tous monsieur. Puis-je vous proposer ceci pour vous? Et ces deux la pour vos petites-filles?

Paido regarda les kimono et en choisit trois dans ceux que le commerçante lui proposait. Il paya ses achats et sortit du magasin, avant de s'arrêter dans une boutique d'éventails et d'en acheter trois ainsi que les chaussures qui allaient avec les kimonos. Comme ça c'est deux petites-filles auraient des kimonos à elle, et puis ça allais bientôt être la St-Nicolas, il les leurs donneraient juste à l'avance. Paido en profita aussi pour acheter du thé avant de rentrer chez lui pour se changer.
Quand il eut fini de sa changer, il se rendit à Pourdlard, sous forme de chien pour ne pas salir son kimono, et un sac dans sa gueule contenant les kimonos et le reste. Arrivé devant la salle, il redevint humain, et Paido entra dans la salle, habillée comme une japonaise de son époque, mais de haute naissance.

Paido jeta le sac sale dans une poubelle et il entra dans la salle avec un sac à la main contenant les kimonos de ses petites-fills. Il observa les lieux avant de repérer sa famille et de saluer les autres personnes présentes. Paido alla vers eux et s'arrêta à quelques pas, se demandant si il serrait reconnut dans cette tenue et surtout avec ces cheveux teints en noir par magie, magie qu'il dissiperait après le bal.